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Perle de sens - Blandine - Bioanalogie - Oedipe

Œdipe, guide vers les perles de sens

Posted on 23 février 2020 by Blandine Delenatte

 

Œdipe est un personnage de la mythologie grecque au destin on ne peut plus tragique. Mais cette histoire, aussi horrible soit-elle, nous offre d’intéressantes perles de sens. Je vous propose, après avoir lu ou regardé en vidéo l’histoire d’Œdipe, d’en faire une lecture à la lumière de la loi du principe.

 

Le mythe d’Œdipe

Perle de sens - Blandine Telmon - Bioanalogie - Oedipe - loi du principeLe couple royal de Thèbes, Laïos et Jocaste, n’arrivent pas à avoir d’enfant. Ils consultent alors la Pythie, oracle de Delphes qui leur prédit que s’ils ont un fils, celui-ci tuera son père et épousera sa mère. Quelques mois plus tard, Jocaste met au monde un fils. Le roi Laïos charge aussitôt un serviteur d’abandonner l’enfant sur le mont Cithéron, après lui avoir attaché les pieds. Un berger le trouve et prend soin de lui avant de le confier à un voyageur pour qu’il l’emmène loin de Thèbes.

Ce voyageur pense à la récompense que Polybe et Merope, roi et reine de Corinthe, pourraient lui offrir pour cet enfant, eux qui se désolent de ne pas en avoir. Il l’emmène alors à Corinthe où Polybe et Merope l’élèvent comme leur propre fils, sans lui révéler le secret de ses origines. Ils lui donnent le nom d’Œdipe, « celui qui a les pieds enflés », en raison de sa blessure aux pieds.

Œdipe grandit à Corinthe, dans l’affection de ses parents, et fait l’admiration de tous. Il est naturellement désigné à succéder à son père sur le trône. Mais un soir, lors d’un banquet, un convive éméché lance à Oedipe « après tout, tu n’es qu’un enfant trouvé » ! Œdipe, choqué, réclame que sa filiation soit confirmée. Mais personne ne lui révèle le secret de ses origines.

Alors Œdipe consulte l’oracle de Delphes. Elle ne lui révèle pas plus le secret et lui conseille de quitter son pays, sous peine de tuer son père et d’épouser sa mère. Il s’éloigne alors de sa famille afin d’échapper au destin et quitte Corinthe sans autre but que celui de fuir. En chemin, arrivé au carrefour de trois routes, il emprunte la plus étroite. Là, il se trouve face au char d’un homme accompagné de son serviteur. Les deux chars ne peuvent pas se croiser. L’homme, hautain, ne veut pas le laisser passer. Une querelle éclate et Œdipe tue cet homme alors que son serviteur s’enfuit et va annoncer aux habitants de Thèbes que leur roi a été assassiné. Cet homme était Laïos.

Ce malheur accroît la terreur qui règne depuis des années sur la ville où un Sphinx, créature mi femme, mi lionne surmontée de deux ailes, terrorise et tue les passants qui ne répondent pas juste à l’énigme qu’il leur pose.

Quand Œdipe arrive à Thèbes, il est surpris par l’ambiance morbide qui règne sur la ville. Un passant lui explique que le roi est mort, que la régence a été confiée à son beau-frère qui promet la main de sa sœur, la reine Jocaste à celui qui délivrera Thèbes de l’emprise du Sphinx.

Œdipe voit là l’occasion de mettre fin à son errance et affronte le sphinx qui lui pose sa question habituelle : « Quel animal a quatre pattes le matin, deux le midi et trois le soir ? ». Œdipe réfléchit et répond : « C’est l’Homme : au matin de sa vie, le bébé marche à quatre pattes, à midi, il marche avec ses deux jambes et au soir de sa vie il s’aide d’une canne, marchant ainsi sur trois pattes. »

Perle de sens - Blandine Telmon - Bioanalogie - Oedipe - loi du principeLe sphinx, vaincu, se jette dans le vide et meurt. Œdipe est élu roi de Thèbes et épouse la reine Jocaste. Ainsi, comme l’avait prédit l’oracle, Œdipe a tué son père et épousé sa mère.

Avec Jocaste, ils vivent heureux pendant de nombreuses années, ignorant leur véritable lien de parenté jusqu’au jour où une épidémie de peste sévit à Thèbes. Le peuple implore Œdipe de les débarrasser de ce fléau, lui qui a vaincu le sphinx.

Œdipe va alors voir l’oracle de Delphes pour trouver de l’aide. Or, la Pythie lui annonce que cette épidémie durera tant que le tueur de Laïos ne partira pas de Thèbes. Œdipe dépense beaucoup d’énergie pour retrouver le coupable. Jocaste se souvient que le jour du décès de son mari, il était accompagné d’un serviteur. Celui-ci est retrouvé et interrogé. Il dit que Laïos a péri de la main de jeunes bandits, au carrefour de trois routes, sur un chemin étroit près de Delphes.

Œdipe blêmit en comprenant qu’il est lui-même le meurtrier de Laïos, son père et que sa femme Jocaste est sa mère alors que Polybe et Merope ne sont pas ses parents. Jocaste apprend la nouvelle et met fin à ses jours. Œdipe comprend que le destin révélé par l’oracle s’est accompli. Il se crève alors les yeux de désespoir, renonce au trône et part de Thèbes avec sa fille Antigone qui lui sert de guide.

« La tragédie est le lieu où on se tue à nous le dire. » Robert Sabatier

 

Les perles de sens

Tuer son père

Perle de sens - Blandine Telmon - Bioanalogie - Oedipe - loi du principeEn bioanalogie, toute unité se lit sur les trois plans de la conscience que l’on peut illustrer en trois couleurs : vert, rouge et bleu. Dans l’unité famille, il y a le père, la mère et l’enfant. Le mot « père » est dans le plan représenté en vert, analogique avec le temps, le ciel, l’extérieur, nous situer, nous orienter, ce qui est repère pour nous, nous reconnaître, nous positionner.

☼ L’image d’Œdipe qui tue son père est une invitation à cesser de chercher une reconnaissance extérieur car notre seul repère est nous-même.

Nous aimerions être reconnu par les autres et cherchons des repères à l’extérieur de nous. Mais jamais dans l’univers il n’y a eu, il n’y a, il n’y aura un autre être identique à nous, dans le même temps, avec la même histoire. Chacun de nous est unique, original et singulier et personne d’autre que nous ne peut nous reconnaître.

Nous seul pouvons reconnaître ce qui est en nous, ce qui est repère et lumière pour nous.

Tout ce que nous admirons chez les autres, ce qui nous fascine, ce qui nous fait rêver ne parle que de nous-même, d’un principe, une perle de sens qui est en nous et que nous n’avons pas encore reconnue.

« La reconnaissance est le paiement du pauvre. » Proverbe indien

 

Résoudre l’énigme du sphinx

Perle de sens - Blandine Telmon - Bioanalogie - Oedipe - loi du principeŒdipe ne vainc pas le sphinx par la force mais par le discernement. Il résout l’énigme et en découvre le sens. Le sphinx est un monstre féminin ailé, mi-humain, mi lion. Analogiquement, il pourrait représenter cette hésitation entre intuition et réflexion, entre conscience et intelligence, entre volonté et abandon.

☼ L’image d’Œdipe qui résout l’énigme du sphinx est une invitation à utiliser notre discernement pour laisser place à l’intuition, et le sens se révèle.

Notre mental est logique et chronologique, il est garant de notre survie. Quand nous voulons donner un sens à notre vie avec notre mental, nous restons dans le passé, ne pouvant donner qu’un sens que nous connaissons déjà.

Et paradoxalement, seul notre mental nous permet de repérer notre propre fonctionnement mental pour cesser de l’entretenir afin d’accéder à la conscience et à la vie, là, dans l’instant. Dans cette expérimentation de ce que la vie nous propose, le sens se révèle, la vie se réalise à travers nous.

« Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don. » Albert Einstein

 

Épouser sa mère

Perle de sens - Blandine Telmon - Bioanalogie - Oedipe - loi du principeLe mot « mère » est lui dans le plan représenté en bleu, analogique avec l’espace, la terre, l’intérieur, accueillir ce qui est, ce qui nous laisse en paix, adhérer à la réalité concrète comme l’eau qui coule sur la terre.

☼ L’image d’Œdipe qui épouse sa mère est une invitation à adhérer à la réalité concrète sans vouloir une autre réalité que celle qui est là.

Nous voudrions tellement souvent un autre constat que celui que nous faisons ! Combien de fois nous disons-nous « oh non ! » devant une situation que nous aurions voulu éviter ?

« Tu ne tueras point » disait Jésus. Évidemment que la moindre des politesse est de ne pas tuer son voisin… Cette phrase n’a-t-elle pas plutôt le sens de « tu ne diras pas non à la réalité telle qu’elle est » ? Et si nous osions rencontrer la réalité nue et crue ?

En disant non à ce qui ne nous convient pas, nous tuons la réalité et nous nous coupons de ce que nous sommes en train de vivre. Ne pas vouloir autre chose que ce qui est là est le seul gage de paix. Pas facile, c’est sûr. Cela demande de ne rien faire, juste être présent à nous-même, à chaque instant, à l’écoute de nous, de nos ressentis, de ce que nous constatons en nous.

« Ne pas tourner le dos à la réalité ? Oui, mais est-ce que la réalité ne nous entoure pas de toutes parts ? » Stanislaw Jerzy Lec

 

Se crever les yeux

Perle de sens - Blandine Telmon - Bioanalogie - Oedipe - loi du principeNos yeux nous permettent de voir et de trouver des repères pour nous situer dans la réalité concrète. Nous nous situons par rapport à l’information que nous avons déjà en nous. En effet, un repère n’en est un que parce que nous en avons déjà l’information. Ce que nous ne reconnaissons pas n’est pas un repère pour nous. Ce que nous n’avons jamais vu, lu, entendu, appris, touché, senti… n’est pas un repère. C’est neutre car nous n’en avons pas l’information en nous.

Les yeux nous permettent donc d’aller chercher à l’extérieur ce qui est déjà en nous. Notre seul point de repère ne peut être que nous-même et quand la réalité extérieure nous touche, à nous de révéler la lumière, la perle de sens contenue dans cette émotion.

☼ L’image d’Œdipe qui se crève les yeux est une invitation à cesser de chercher la lumière à l’extérieur de nous et à vivre notre lumière.

Tout ce qui nous touche de l’extérieur ne parle que de ce qui est lumière pour nous, le principe neutre, la perle de sens contenue dans l’évènement. Mettre la cause de note bonheur ou de notre malheur à l’extérieur de nous est une illusion.

« Ce n’est pas la lumière qui manque à notre regard, c’est notre regard qui manque de lumière. » Gustave Thibon

 

Perle de sens - Blandine Telmon - Bioanalogie - Oedipe - loi du principe

Le mythe d’Œdipe nous invite donc à accueillir la réalité telle qu’elle est et à utiliser notre discernement pour aller à la rencontre des perles de sens des évènements qui nous touchent par la reconnaissance de nous-même. Et le sens se révèle !

La morale de cette tragédie pourrait être « tout ce qui nous touche est lumière pour nous ». Œdipe est un guide vers la loi du principe !

Vous avez cette certitude que ce qui fait écho en nous est une invitation à reconnaître notre propre lumière ? N’hésitez pas à témoigner dans l’espace de commentaire ci-dessous. Et si vous souhaitez en savoir plus sur la loi du principe, je vous invite à vous inscrire ici à la micro-formation gratuite.

 

Photos : Unsplash

  • 3 plans
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9 thoughts on “Œdipe, guide vers les perles de sens”

  1. Edy F. dit :
    27 février 2020 à 08:56

    De l’impermanence des choses.

    « De toutes les réflexions, là plus importante est celle qui porte sur l’impermanence ».
    Bouddha

    Je viens récemment de voir une plage magnifique que j’aimais détruite, emportée par la mer en l’espace de deux jours. Je suis peiné, attristé, choqué, bouleversé. Cela me touche au plus profond de moi. Cela me parle donc de moi. Si je veux trouver la paix, j’ai à tenter d’extraire le principe neutre niché au coeur de cet événement qui me touche. Est-ce le caractère définitif et irréversible de la chose qui m’attriste à ce point ? C’est comme la mort d’un être cher, une partie de mon univers qui disparaît. Une symbolique de la mort ? Ou bien cela signifie-t-il que je suis figé dans le passé ? Que j’ai à reconsidérer mon rapport au monde ? Que je ne dois pas m’attacher aux choses et aux êtres ? Que tout n’est qu’illusion et que mon bonheur ne dépend pas de l’extérieur, donc de cette plage ? La vision de cette plage me rendait pourtant heureux. Rien ne peut réparer la disparition de cette plage.
    Bien sûr, la vie est mouvement, changement permanent, et il n’y a rien à réparer, il y a juste à être. Être dans la non-attente, dans le non-désir. L’univers est, par définition, chaotique. Aucune Mary Poppins ou aucun démon de Maxwell n’est là pour refaire la plage. L’univers est en expansion et l’entropie est, par là même, en augmentation. Être heureux au milieu du chaos, c’est bien là le défi auquel nous sommes confrontés.
    Avec cette plage, c’est une partie de la mémoire de l’humanité qui disparaît. La destruction (ou transformation) de la nature est un phénomène généralisé. Tout cela vient me rappeler l’impermanence des choses (tout est appelé à disparaître). Tout cela vient me rappeler que je ne dois pas m’accrocher au passé, qu’il n’y a que le présent et que la nostalgie n’a pas lieu d’être si je veux être en paix.
    De l’attachement naît la souffrance, dit le Bouddha, et il semble qu’il ait raison.
    Mais :

    « Dans la mesure où l’impermanence de toute chose est permanente, du fait même de cette permanence, il n’est pas vrai que tout soit impermanent ».
    Philosophie hindoue Nyaya

    Ou le chien qui se mord la queue, ou la relativité de toute chose, et je vous laisse méditer là-dessus si le coeur vous en dit car tout est vrai et rien n’est vrai, il n’y a pas de vérité absolue et il semble qu’entre permanence et impermanence, on ne sorte pas de la dualité..
    Ce qui nous ramène à l’univers quantique où tout, semble-t-il, soit permanence..
    Et aux principes immuables..

    Question subsidiaire, puisqu’on parle d’Oedipe et de sa mère : quand je rêve que ma défunte mère cherche à me tuer, cela signifie quoi ?..

    Répondre
    1. Blandine Delenatte dit :
      27 février 2020 à 15:02

      Bonjour Edy,
      De façon neutre, on pourrait dire « Edy est touché par la submersion de la plage ».
      Une submersion, c’est l’eau qui emporte tout. Il n’y a plus aucune référence extérieure, ni haut, ni bas, ni avant, ni arrière. La forme est modifiée par l’eau, cette eau qui parle d’adhésion totale à la réalité concrète, d’accueil sans réserve.
      La plage est un rivage plat où les vagues déferlent, limite entre la mer et la terre. Toute limite parle de ce que nous avons à expérimenter. Eau et terre parlent d’adhérer à la réalité, de l’accueillir avec bienveillance.
      Bref, Edy, il semblerait que la vie vous invite à vous laisser transformer en laissant partir les références auxquelles vous êtes identifié en vous laissant conduire sans lutte, en vous abandonnant à la bienveillance pour vous.
      La vie vous propose de vivre l’expérience de l’être unique que vous êtes dans une rencontre permanente de l’instant présent, dans un déséquilibre permanent, dans une remise en question de chaque instant… Il faut être fou ! Et pourtant, cette confiance en la vie créé des ponts dans le vide, comme dans la scène d’Indiana Jones où un pont se crée sous ses pas pour traverser un précipice, juste par sa confiance, sa foi.
      Il n’y a rien d’autre à faire que de s’en remettre à la vie en lâchant toute idée de pouvoir personnel. C’est ça le principe de la vie, une invitation à être présent et à s’accueillir dans l’abandon et la bienveillance. Nous réalisons ainsi que l’amour est un constat, le résultat de notre façon de s’accueillir et de s’abandonner à la vie. C’est vivre dans la certitude que tout est accompli.
      Et rêver que votre défunte mère cherche à vous tuer est une invitation à…
      La mère, c’est comme la mer, l’eau… quand elle vous tue, elle change votre forme, comme l’eau a changé celle de la plage… C’est le même principe !
      Voilà, je vous offre cette lecture analogique avec plaisir même si un commentaire d’article n’est pas là pour lire les principes de chacun, sans rencontre. À vous de le mettre en pratique !

      Répondre
      1. Edy F. dit :
        27 février 2020 à 16:35

        Merci beaucoup Blandine..

  2. Laurence dit :
    27 février 2020 à 06:53

    Bonjour Blandine ,

    J ai besoin de lumiere lol concernant votre article sur Oedipe ,

    Je ne comprends pas le principe ou mon cerveau plutôt bloque ….

    La morale de cette tragédie pourrait être « tout ce qui nous touche est lumière pour nous »… euhhh c’est a dire ????

    Parce que perso j ai l’impression d’être chargée en matière de plein de choses qui me touche concernant mon environnement, j’arrive plus a décoder !!!

    Merci juste de me préciser le principe de la phrase donnée ci dessus / tout ce qui …

    Merci Blandine

    Répondre
    1. Blandine Delenatte dit :
      27 février 2020 à 10:03

      « La morale de cette tragédie pourrait être « tout ce qui nous touche est lumière pour nous ». »
      Cette phrase parle de la loi du principe que j’explique dans cet article : https://perledesens.com/la-loi-du-principe/
      C’est la base de la bioanalogie qui part du principe que tout ce qui nous touche, nous émeut, nous énerve, nous attriste, nous met en colère… bref, provoque une émotion chez nous, est porteur d’un principe, d’un sens, d’une perle, d’une richesse, d’une lumière que nous ne faisons pas vivre.
      Par exemple, si quelqu’un me traite de paresseuse et que cela me vexe car justement je pense que je me démène pour en faire toujours plus, toujours mieux, cette émotion (être vexée) m’indique que le mot paresseuse qui ma vexée ne parle que de moi et porte en lui une lumière. Cette lumière vient du sens du mot lui-même qui signifie « faire ce qu’il y a à faire, ni plus, ni moins ». Et justement, c’est toute ma difficulté ! Je crois qu’il faut toujours en faire plus et je m’épuise à faire, faire, faire, à remplir des to do list interminables alors que la vie me dit « et si tu ne faisais que ce qu’il y a à faire, ni plus ni moins ??? »
      Voilà le sens de cette phrase.
      Et le tout n’est pas de décoder tous les messages dans le détail mais d’avoir la certitude que dès que l’on est touché par l’extérieur, cela est le reflet de quelque chose d’intérieur que nous n’avons pas mis en lumière, dont nous n’avons pas pris conscience.
      Et cette façon de voir la vie change tout et enlève bien du poids aux évènements fâcheux ! 😉

      Répondre
  3. Marie-France Champagne dit :
    26 février 2020 à 15:49

    Merci Blandine pour cette belle analyse
    Belle semaine à toi

    Répondre
    1. Blandine Delenatte dit :
      26 février 2020 à 20:46

      Coucou Marie-France. Ce n’est pas une analyse et elle n’est ni belle ni moche !!! 😉 😉
      C’est une lecture analogique avec la loi du principe !
      Belle semaine à toi aussi !

      Répondre
  4. Sylvie dit :
    23 février 2020 à 10:43

    Bonjour,
    Je viens de lire votre « perle de sens ». Mon fils qui a aujourd’hui 34 ans a commencé à montrer quelques difficultés psy dès l’âge de 21 ans. Ses symptômes, que je n’ai pas accepté comme la réalité nue et crue. Alors j’ai cherché pourquoi ? comment ? La belle réalisation pour moi est que sur ce chemin de recherches pour l’autre, j’ai trouvé les réponses à ma propre vie et aujourd’hui, j’ai enfin compris : j’accepte ce qui est sans rien faire !
    Merci Blandine pour votre blog. J’adore !!!
    Sylvie

    Répondre
    1. Blandine Delenatte dit :
      26 février 2020 à 20:51

      Merci beaucoup Sylvie de ce témoignage !
      C’est vraiment beau de lire cela : vous accueillez sans rien faire.
      Tellement simple et tellement difficile !
      La seule façon d’être heureux n’est elle pas de ne pas vouloir une autre réalité que celle qui est là ?

      Répondre

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